5 février 2011

Enseignes peintes - suite


Rue Pétramale, en face du clos des Arts.

12 commentaires:

Brigetoun a dit…

longue vie à elles (quoique ravalement tôt ou tard)

Michel Benoit a dit…

Elles tiennent le coup !

Quand je pense que j'ai travaillé chez Bourret pendant les vacances quand j'étais lycéen... je me sens vieux !

jeandler a dit…

On n'hésitait pas à l'époque à pub-lier directement sur les murs !
Le propriétaire avait-il droit
en dédommagement
à un saucisson et un crayon ?

Toutefois, il y a quelque d'émouvant à retrouver ce genre d'enseignes du temps jadis, avec leurs tons pâlis.

Tilia a dit…

Un tiroir de bureau bourré de saucissons...
c'est du Gaston Lagaffe tout craché :D

lireaujardin a dit…

J'aime beaucoup cette série sur les enseignes qui survivent aux petits métiers et commerces, ce passé qui s'attarde sur nos murs. "Tout le bureau", je m'en souviens.

Je ne sais pas si tu la connais, mais il y a une petite et jolie enseigne d'un ancien dépot ou magasin de savon, au début de la rue de la bourse lorsque l'on part de la place des corps saints, sur le mur gauche, avant le premier sexshop. Je l'ai vu quelque fois en passant, me disant toujours qu'il faudrait que je la photographie un jour. J'aime sa simplicité et la couleur de ses ocres. Si tu as l'occasion de passer par là...

webiane a dit…

C'est vrai, elles sont toujours là et c'est assez étonnant.

MATHILDE PRIMAVERA a dit…

j'adore ces vieilles publicités, et, je crains toujours que le temps finisse par les faire disparaitre complètement !!!
Tu fais bien de les photographier puisque je n'en ai pas encore pris le temps !

Fardoise a dit…

Je n'en suis qu'au début de la série, il y a encore bien d'autres publicités peintes ou enseignes qui restent dans Avignon, mais c'est vrai il me faudrait les photographier d'urgence, car si certaines resteront, d'autres peuvent être menacées. Plus nous serons à le faire et mieux ce sera.
Je ne sais pas, si les propriétaires étaient enchantés, il me semble qu'ils étaient dédommagés, à vérifier.
"Avignon", je ne savais pas que tu avais travaillé chez Bourret, cela peut-il dégoûter de la charcuterie ?

Michel Benoit a dit…

Non, cela ne dégoûte de tout ce qui est viande que les deux premiers jours !

Quand aux murs peints de publicités, ils étaient sans aucun doute loués.

Fardoise a dit…

Heureusement que cela ne dégoûte pas à vie ! Les murs étaient sans doute loués, c'est donc assez extraordinaire qu'ils soient donc restés peints.

Nathalie a dit…

'Les murs étaient sans doute loués, c'est donc assez extraordinaire qu'ils soient donc restés peints'

Oui fardoise, mais en même temps, retirer la pub ça veut dire repeindre toute la façade, ça coûte plus cher que de garder une vieille enseigne pleine de charme :-)

D'accord avec toi pour unir nos forces pour faire des photos de toutes ces enseignes.

En fait je me disais que ce serait vraiment intéressant de faire des photos systématiques des boutiques aussi, celles qui ouvrent, celles qui ferment... c'est fou ce que la ville change d'une année à l'autre. Qui d'entre nous a des photos d'Amblard ouvert ?

Fardoise a dit…

Tout à fait d'accord avec toi Nathalie, pour Amblard par exemple, je ne suis pas certaine d'avoir de photographie, les exemples ne manquent pas dans les rues Carreterie, Portail Matheron, Carnot, pour ne citer que ce grand axe, l'un des plus achalandés naguère.
Pour ce qui est des enseignes il en existe encore dans plusieurs lieux, celles qui ont le mieux résisté sont en hauteur. Difficile de savoir s'il s'agit d'une volonté de les conserver ou non.