21 octobre 2013
Lieu d'aisance - suite sans fin
Rue de l'Amelier, les traces sur le mur sont explicites, et l'on peut constater que c'est tout à côté de l'entrée de cette bâtisse. La liste de ces lieux d'aisances improvisés et imposés aux habitants ainsi qu'aux passants, c'est d'abord l'odeur qui s'impose, cette liste donc serait sans fin, tous les recoins semblent pouvoir servir à cet usage.
Loin de moi l'envie de dresser cette liste, fastidieuse et peu engageante, mais dans certains cas, comme ici, c'est plus grave qu'ailleurs. Cette rue est en effet l'une des plus empestée, c'est parfois à la limite de pouvoir y passer.
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8 commentaires:
Cette rue, qui était un de nos terrains de jeu au début des années soixante, nous l'appelions la rue Pipi-Caca.
Je vois qu'elle fait honneur à notre dénomination !
Comme quoi, des us et des coutumes, c'est vrai qu'ils se perpétuent.
Là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir dit la rumeur publique.
Oui, et pourquoi se gêner ?
Je passe en vitesse, en me bouchant le nez !
Sincère compassion pour les habitants de cette maison honteusement compissée.
Je me posais la question, ou plutôt les questions :
- de savoir s'il s'agissait des habitants eux-mêmes... tout en me disant que ce n'est pas possible,
- ou bien s'il s'agit d'une rivalité de voisinage ???
Non, il s'agit de passants (la plupart du temps masculins je pense) qui profitent de ce coin relativement discret.
Mais il y a peut-être des habitués... ?
C'est d'ailleurs assez répandu dans le quartier. Il est même des époques où l'odeur d'urine se fait bien sentir dans les rues adjacentes.
Le pic étant bien entendu les nuits du vendredi et du samedi, après les sorties de boites proches. (Suivez mon regard...)
C'est vrai que tout le quartier est affecté. Dans certains pays c'est la bière que l'on pisse "dixit Brel" sur les murs, ici... S'il n'y a pas d'habitués, il y a au moins des lieux privilégiés, je ne sais pas si c'est le mot qui convient ?
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