Construite au XIV et à l'époque isolée, elle fut fortifiée, tout comme Saint Ruf à laquelle elle était rattachée.
Il en reste cet aspect si particulier,
à la fois rude, austère et pourtant lumineux, la simplicité de la pierre à nu sans doute.
7 commentaires:
depuis le temps quej 'ai envie de la voir mais ne fait pas l'effort ! honte à moi, tu me confirmes qu'il le faut pour mon plaisir
Hormis la tour, elle ressemble bien à St-Didier...
Les corps et les âmes sauvés dans me même édifice
« Les uns prient, les autres combattent, les derniers travaillent. Ces trois groupes forment un seul tout et ne peuvent être séparés. Ce qui fait leur force, c’est que ceux qui travaillent le font pour les deux autres ordres ; à leur tour, ceux-ci prient ou combattent pour eux. Ainsi, tous trois se soulagent les uns les autres. »
D’après Adalbéron, archevêque de Reims, Poème au roi Dagobert, vers 1027.
Rêvons en ces ruines...
Belles et lumineuses images
Il m'aura fallu ce marché de Noël pour me décider à aller la voir... C'est vrai qu'il y a quelque chose dans le clocher par rapport à Saint Didier, mais je la trouve plus simple d’aspect, plus massive aussi. Je ne sais pas si tous les ordres de la société se retrouvaient vraiment ici.
J'ai eu l'occasion, triste, d'y entrer le mois dernier pour un enterrement en petit comité. N'y avait plus le vieux curé, mais un nouveau qui a fait installer un écran à droite de la sacristie pour faire du karaoké avec les paroles des prières et des "chansons" : hallucinant !
Triste circonstance en effet, j'ai beaucoup donné ces derniers temps. Étrange pratique qu'un karaoké pour les enterrements...
Voilà une visite que je ferai bien et d'ici peu car je reviens vers Avignon début 2012.
Merci pour la découverte.
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