Sur cette façade se dessinent encore les traces de deux arcatures, là où existait le couvent des Augustins.
Les deux fenêtres de la pharmacie à gauche en font les gros yeux. Toutes les bâtisses voisines conservent ainsi des restes de ce monastère médiéval.
Entre les deux fenêtres de la pharmacie une ouverture murée conserve un arc trilobé.
9 commentaires:
j'aime les repérer dans les rues d'Avignon, parfois dans les cours
Les murs ne sont pas si aveugles qu'on veuille bien le dire.
L'histoire s'y dessine
le passant s'en imprègne
les pierres se laissent lire.
Dans Aviqnon cela devient vite un jeu de piste. Mais encore faut-il savoir les lire...
Connaître la langue
n'est pas Champollion
qui veut
et Noblecourt qui vient de tirer sa réverence...
On voit bien les traces de l'ancien bâtiment, mais les spots sont très moches. Il n'a pas assez de sous le pharmacien pour faire poser des appliques plus style !
Ces spots sont-ils vraiment utiles ? C'est vrai que ce n'est pas d'une grande esthétique.
Bien vu. J'adore ces traces de reconstruction partout dans cette ville.
Quant aux spots, trois huées pour ces horreurs!
Ce quartier, et tout particulièrement ce pâté de maisons regorge de vestiges encore visibles dans les murs. Je voudrais être petite souris pour voir à l'intérieur des maisons...
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