18 juin 2010

Gargouilles de Saint Martial


 Cet ancien couvent qui fut l'un des plus prestigieux d'Avignon est aujourd'hui très défiguré et réduit. L'église et son portail du à Pierre Mignard, abrite l'actuel temple réformé, et il reste des vestiges du cloître dans le jardin Agricol Perdiguier. Il abritait les collections du musée d'histoire naturelle, transportées au musée Réquien après le percement du cours Jean Jaurès et la destruction des bâtiments conventuels.
Les gargouilles sont nombreuses et proposent une faune variée et réaliste, à laquelle se mêlent quelques personnages.


9 commentaires:

Michel Benoit a dit…

À quand le catalogue des gargouilles ? !!!

Il faudra louer un camion de pompier avec une grande échelle !

Fardoise a dit…

C'est une idée. Un catalogue, pas vraiment, des extraits plutôt, juste pour donner l'envie de lever le nez.

Michel Benoit a dit…

Mais ça, c'est ce que tu fais déjà.

Brigetoun a dit…

admirable taureau

Fardoise a dit…

Lever le nez ? Oui, mais je ne parlais pas de moi. Et je regarde aussi où je mets les pieds, pas facile à coordonner.
J'aime bien aussi le bélier.

Merula a dit…

Superbes gargouilles, c'est curieux qu'elles souvent souvent les premières à être détruites, c'est bien de les photographier.

Fardoise a dit…

C'est intéressant, pour moi surtout, car je ne les vois pas aussi bien à l'œil nu.

jeandler a dit…

Les taureaux: la Camargue n'est pas loin
et la première, si joliment peignée.
Censées faire peur et éloigner les démons? Je n'y croîs pas.

Fardoise a dit…

A l'époque je ne crois pas que l'on élevait déjà des taureaux en Camargue. Quant à la symbolique, elle est complexe et ne vise pas seulement qu'à faire peur.