Une gargouille de l'Hôtel de Sade, on peut se demander de quoi souffre ce personnage.
Église Saint Pierre, la végétation a pris possession de la gargouille, ajoutant à son caractère fantastique.
Ce ne sont ici que des exemples glanés au gré de mes promenades. On sait que les constructeurs des églises et monuments plaçaient à ces endroits à la fois bien en vue et cependant trop loin pour que cela soit identifiable, des personnages monstrueux ou grotesques, voire des caricatures de ce qui représentait le mal et en particulier les religions honnies.
Ils avaient compté sans nos instruments modernes...
7 commentaires:
à Saint Agricol nous donnons dans les boucs - et pour la difficulté de les voir c'est une raison d'aimer celles du cloître des Carmes que l'on peut presque toucher
Souffrir de la malemort
ellle rend gorge!
Joli la malemort !
Je vais aller voir celles de Saint Agricol.
Vue sous cet angle, celle de St Pierre est totalement transfigurée. Avec son oeil immense et sa tignasse ébouriffée, on dirait une tête de Mogwaï en train de virer Gremlin !
Les gargouilles du chevet du temple St Martial, ainsi que celles de son clocher, sont également intéressantes et très diversifiées, (les premières étant sûrement plus à portée de zoom que les secondes).
J'y penserai lorsque je passerai à proximité du temple St Martial, j'avoue que c'est un monument que j'ai peu détaillé.
A St Martial gargouilles mixtes...
Je pense les seules sur Avignon
A Saint Pierre aussi, j'ai consacré de nombreux articles aux gargouilles depuis. C'est vrai je les aime beaucoup.
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