17 avril 2012

Les pigeons, suite

Rue des Fourbisseurs.
Cette photographie se passerait de commentaires, toutefois il ne m'est pas possible d’ignorer le pigeon alors que j'avais photographié ces trous béants dans un immeuble qui n'est pas à l'abandon. Le pigeon est un plus qui montre que ces petites bêtes pullulent et trouvent des nichoirs un peu partout dans la ville, pas seulement dans les remparts et autres vieilles pierres. Sans doute n'ont-elles plus de prédateurs et le confort de la ville leur fournit le gite et le couvert. 
Dans mon autre blog, je leur ai consacré aussi une série, le dernier article les montrait dans le cloître Saint-Louis et sur la façade de la chapelle des Pénitents Noirs ICI.
Je rappelle que j'aime beaucoup les pigeons, que j'aime les voir, mais il y a d'autres espèces d'oiseaux, qui doivent survivre eux aussi.

4 commentaires:

Brigetoun a dit…

plein de squats pour pigeon (tiens moi qui me demandais ce qu'ils devenaient par grand froid !)

Fardoise a dit…

Ils sont sans doute restés au chaud, ce ne sont pas les endroits qui manquent.

Michel Benoit a dit…

Pigeon de dos et... de face :
http://avignon.midiblogs.com/archive/2009/09/05/senso-titre-sans-titre-no-title.html

Franchement, seraient remplacés une bonne partie des pigeons par des moineaux et autres passereaux, ça me plairait bien.

Fardoise a dit…

Tout à fait Michel. Pour l'instant il y en a encore, notamment devant chez moi, si je ne les vois pas toujours, je les entend.